Plusieurs médias, dont
Libération , ont répercuté, ces derniers jours, l'info selon laquelle Jean-Marie Zerr, un vigneron alsacien qui travaille en
biodynamie, stimule les arômes et sucres de ses Gewürtztraminer en inondant sa vigne de musique classique et de «fréquences sonores de deux à trois minutes».
Il n'est pas pour autant un précurseur, puisqu'en Toscane, Carlo Cignozzi d'
Il Paradiso di Frassina recourt à ce procédé depuis 2005.
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