Paradoxal ! Il y a quelques temps, je lisais que les forêts de chènes-lièges étaient menacées de surexploitation. En gros, on ne respectait pas le cycle de renouvèlement de l'écorce fournisseuse de la matière première pour fabriquer des bouchons chers à nos bouteilles de vin. L'existence d'options, comme le bouchon à vis ou le bouchon synthétique, étaient, dès lors, vues d'un bon œil. Or, je lis, sous la plume de Jean-Jacques Bozonnet dans Le Monde que le recours au bouchon synthétique menace les plantations de chênes-lièges.
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